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Développement social & culturel


Le patrimoine culturel et naturel riche et diversifié de l’Afrique est important pour le développement durable, la réduction de la pauvreté et le maintien et la consolidation de la paix. Il peut servir de fondement solide pour progresser sur le plan économique de manière inclusive, alors que le continent s’efforce de s’attaquer aux problèmes que fait peser la pandémie de COVID-19. Pour enrayer la pandémie, accompagner la reprise économique et atteindre les objectifs de développement durable, il nous faut garantir un accès équitable et universel aux différentes cultures mondiales, afin de nous rapprocher les uns des autres.

La culture offre également le moyen d'exprimer sa créativité, de se forger une identité propre et de renforcer ou de préserver le sentiment d appartenance à la communauté. Les expériences culturelles offrent des occasions de loisirs, de divertissement, d apprentissage et de partage d expériences avec d'autres. Il existe une multitude de facteurs socioculturels pour expliquer le comportement des individus. Les principaux sont : la famille, le groupe d'appartenance et le groupe de référence.

L'apprentissage doit commencer à un très jeune âge. En investissant dans les initiatives d apprentissage de la petite enfance, nous pouvons assurer le succès accru des citoyens. Cette diversité culturelle multiplie les choix, nourrit un éventail de compétences, de valeurs humaines et de visions du monde et tire du passé la sagesse nécessaire pour éclairer l avenir. La diversité culturelle est le ressort central du développement durable des individus, des communautés et des pays.

Développement social

Le développement social porte ainsi des axiomes communs permettant d’orienter le travail social vers des approches plus collectives. Il s’agit, en particulier, de la « participation », de la « mobilisation des potentialités locales », de « l’action globale », de la « co-construction », des « projets de territoire ». Cette orientation poursuit l’objectif d’un changement de posture de l’intervention publique, visant à transformer la conduite des politiques d’action sociale elle-même. En effet, en raison de l’évolution des problématiques sociales et de la remise en cause des postures traditionnelles, on observe dans les divers travaux issus des États généraux du travail social une réelle convergence des différents acteurs locaux du champ social, dans leur volonté d’exercer autrement leur responsabilité en remplaçant les réponses spécifiques et sectorielles usuelles par de nouvelles politiques sociales plus transversales et décloisonnées.

Dans cette lignée interprétative, le développement social est plus généralement la feuille de route d’une nouvelle étape de la décentralisation et d’un modèle social susceptible d’articuler une solidarité de droits universels sur le plan national avec des « solidarités d’engagement » ancrées dans les territoires. Cette ambition repose sur la nécessité non seulement de décloisonner les interventions publiques mais également de favoriser des pratiques effectives de démocratie citoyenne et participative. En ce sens, le développement social renvoie avant tout à une stratégie de mobilisation et de mise en synergie des politiques sociales avec les politiques de droit commun (emploi, logement, éducation, culture, sport, transports…) dans une démarche intégrée. Il implique donc un repositionnement stratégique des politiques publiques, visant à promouvoir une conception plus ascendante et transversale de l’intervention par la démarche du contrat et du partenariat. Mais il ne se limite pas à cette seule dimension car il est aussi, et peut être surtout, une mise en capacité de tous les acteurs de la société civile, dont au premier chef les habitants, les citoyens, notamment les plus démunis, à travailler sur eux-mêmes et leurs enjeux prioritaires dans toutes leurs composantes (sociale, économique environnementale, culturelle…).

Le développement social n’a donc pas pour finalité de régler les problèmes du travail social et sa crise protéiforme en tant que tels, mais de bien appréhender les besoins sociaux de la société d’aujourd’hui. « C’est pourquoi nous proposons de parler de développement social et non pas de développement social local. »

Le développement social est aussi l’affaire de l’État, pas seulement des collectivités territoriales de proximité. Le développement social ne se limite pas au seul échelon local et ne concerne pas uniquement par ailleurs le travail social. Il relève d’une stratégie politique ambitieuse qui implique la mobilisation de toutes les politiques publiques de droit commun (urbanisme, économie, santé, culture, sport, éducation…) dans un objectif de décloisonnement des interventions et de participation citoyenne permettant une approche globale des inégalités et des besoins sociaux.

Développement culturel

Dans la tradition sociologique, la notion de culture a été longtemps liée à celle de communauté, au sens donné à ce terme quand on oppose la communauté, où l’existence de chacun est régie par un ensemble de croyances et de normes héritées qui s’imposent à lui, à la société, libre association d’individus attachés à leurs intérêts et maîtres de leurs valeurs Cf. Tönnies, 1887 ; Weber, 1922.. La culture est alors vue comme étant du côté de la communauté. Elle est supposée associée à des coutumes, des traditions, et aux valeurs héritées qui légitiment celles-ci.

Même quand les sciences sociales mettent l’accent sur le rôle des acteurs, elles continuent à associer la notion de culture à des conduites bien définies. Ainsi, c’est dans ce sens qu’oriente la théorie de la structuration de Giddens (1984). L’existence de manières habituelles d’agir, de routines, est au cœur de la théorie. Les acteurs sont vus à la fois comme suivant largement ces routines et comme susceptibles de les transformer sans cesse. Dès lors, la culture est vue comme largement créée par les acteurs. Les approches classiques des rapports entre culture et développement sont inspirées par une telle vision. Ainsi, pour North 1987, p. 421., la culture est liée à des “communities of common ideologies and a common set of rules that all believe in”. Et pour Douglas (2004), la culture est « une manière de penser qui justifie une manière de vivre ». Or l’observation du fonctionnement des entreprises, aussi bien dans les pays développés que dans les pays en développement, conduit à rencontrer une autre dimension de la culture : un cadre de sens à la fois hérité et compatible avec des pratiques très diverses. On s’appuiera sur les enseignements d’un programme de…. Ce cadre tient une grande place dans les questions d’efficacité économique, et donc de développement.

Or l’héritage dont il est ainsi question ne ressemble guère à ce que l’on qualifie habituellement de culture, en pensant à des manières bien déterminées de se conduire. Il s’agit plutôt d’un cadre général d’interprétation. Ce cadre est marqué par l’opposition entre certains types de périls, différents d’une société à l’autre, craints entre tous, et des voies de salut permettant d’échapper à ces périls. Il lui correspond une vision d’une société idéale comme ce qui permet de conjurer efficacement ce qui est vu comme le péril majeur. Un tel héritage ne se rencontre pas seulement chez les tenants d’un ordre social traditionnel. Il contribue tout autant à donner forme à la manière dont une société se modernise. Ainsi, il influence la forme que prennent les institutions démocratiques.

La solidarité concerne aussi nos compatriotes ayant fait valoir leurs droits à la retraite, après avoir rendu de nobles et loyaux services à la Nation Il nous faut donc regarder objectivement cette question et y apporter des solutions durables

Le développement Socioculturel Vise à promouvoir le bien être économique, social et culturel de la population. Son objectif global est de «contribuer à bâtir un pays pacifique, bien gouverné avec une économie émergente et durable, et une société fondée sur des valeurs d équité et de partage des fruits du progrès. En outre, la diversité culturelle nous aide à reconnaître et à respecter des façons d être ” qui ne sont pas nécessairement les nôtres. Ainsi, lorsque nous interagissons avec les autres, nous pouvons jeter des ponts vers la confiance, le respect et la compréhension entre les cultures.

Vis à vis de la protection sociale dans son ensemble, Uncialium est d'abord un partenaire essentiel pour résoudre, au jour le jour, les petits dossiers complexes qui empoisonnent autant la vie des opprimés que celle des organismes sociaux ou des États gestionnaires de la Protection sociale. Armé de ses pouvoirs et habité par ce souci d'équilibre, Uncialium est pour les pouvoirs publics et pour tous les acteurs de la Protection sociale, un partenaire et un guide vers plus d accès aux droits, vers le mieux disant social, vers le mieux disant humain. Si vous vous sentez opprimé, agressé ou sous pression, alors rappelez vous simplement que vous êtes engagé dans un combat social mais rappelez vous aussi que nous pourrions améliorer ces conditions et éradiquer cela ensemble.

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