Chargement...
L'objectif du partenariat internationale, c'est de favoriser l'établissement des échanges.Il s'agit principalement des liens entre les différents pays. Des liens portant sur des investissements divers. Ce sont entre autres la culture, l'éducation, la santé, l'industrie, etc. Il est extrêmement important de promouvoir la coopération internationale afin que les pays puissent adapter efficacement leurs stratégies de lutte contre des problématiques à la réalité des changements. En effet, lorsqu'un individus ou un pays lutte efficacement contre une action nuisible, cela a une incidence sur le succès de la lutte menée contre cette même action ailleurs, car les activités nuisibles ne connaissent pas les frontières.
L'aide publique au développement (APD) reste la clé du financement des objectifs de développement durable Le financement public international catalyse la mobilisation de ressources provenant d'autres sources, tant publiques que privées Malgré les engagements internationaux pris par les pays développés de consacrer 0,7% de leur RNB à l aide au développement, l'APD a connu un recul au niveau mondial. La coopération en matière de développement a beaucoup évolué, avec des contributions croissantes du Sud, du secteur privé, des fondations, de la société civile et des pouvoirs publics locaux Les acteurs de la coopération en matière de développement devront s'adapter rapidement au paysage de plus en plus complexe et diversifié du développement
Le fait que la mondialisation n’ait pas réussi à instaurer des règles du jeu équitables en matière de commerce, d’investissement et de conduite des entreprises est l’un des facteurs qui contribue dans de nombreux pays à un rejet de l’ouverture et à un effritement de la confiance dans les institutions publiques. Selon un nouveau rapport de l’OCDE, ce n’est qu’en intensifiant la coopération internationale, en améliorant le fonctionnement des marchés mondiaux, des entreprises et des institutions, et en veillant à ce que tous jouent selon les mêmes règles du jeu, que la croissance de la productivité pourra être restaurée, la formation de surcapacités évitée et la confiance du public raffermie.
« Le rejet de la mondialisation s’est amplifié dans de nombreux pays. Trop peu a été fait pour aider davantage de citoyens à faire face aux conséquences, étroitement liées entre elles, des échanges, des investissements directs étrangers et des mutations technologiques, » a déclaré le Secrétaire général de l’OCDE, M. Angel Gurría. « Outre l’élaboration de politiques publiques nationales plus efficaces, il est devenu essentiel pour toutes les nations de coopérer ensemble afin de garantir des règles du jeu équitables s’agissant des échanges, de l’investissement et de la conduite des entreprises pour mieux s’attaquer aux écueils de la mondialisation, tout en préservant les bienfaits de l’ouverture économique. Cette coopération permettra à la croissance qu’elle stimule, d’être inclusive et durable, et que la mondialisation profite à tous. »
Une plus grande équité dans le cadre des relations transnationales renforce les politiques publiques visant à aider les travailleurs fragilisés par la mondialisation et les mutations technologiques. Au nombre de ces mesures devraient figurer un accroissement des investissements dans les infrastructures, des réformes structurelles, la mise en place de filets de sécurité, le recyclage et la formation des travailleurs, et des aides versées d’emblée, en cas de reconversion, à ceux qui sont exposés aux conséquences des échanges internationaux.Sans constituer une barrière ou un outil de contrôI, il n est donc pas question de vouloir s'ingérer dans la politique interne des États, mais plutôt de créer une certaine cohésion.
Se mettre d’accord sur une Charte du partenariat pour la coopération au développement. En vue de redéfinir le partenariat entre bailleurs de fonds, les Etats et les organisations de la société civile. L’un des domaines où des ruptures profondes sont nécessaires pour qu’on puisse réellement commencer de parler d’Etat africain ou de politiques africaines, concerne la nature des relations entre les bailleurs de fonds et ces Etats. Les règles du jeu doivent être rediscutées dans le sens de consacrer une reconnaissance effective des acteurs nationaux (Etat, collectivités, organisations non gouvernementales) dans la détermination de la politique nationale et l’orientation des ressources. Les Etats africains doivent porter l’initiative de l’élaboration d’une telle charte et le faire solidairement.
Proposer une stratégie de développement à long terme à laquelle on invite les différents partenaires. En appui à la Charte partenariale, les Etats mettront en place des dispositifs nationaux, prolongés au niveau sous-régional ou régional, de convergence et de coordination des projets et programmes de développement. La mise en place de ce dispositif devra être progressive et concernera, dans une première étape, les appuis aux collectivités décentralisées ainsi que l’aménagement des zones transfrontalières. Dans la continuité des réflexions en cours dans certains pays, une sorte de Bourse des projets sera mise en place par l’Etat en coordination avec tous les acteurs institutionnels. Sur la base Plans Locaux de Développement (PLD) ou des Plans Régionaux de Développement (PRD) élaborés par ces échelons de planification locale, des indications précises seront fournies aux différents bailleurs de fonds, sur ce qui concerne les priorités de développement pour le Pays, en termes de : thématiques, de régions géographiques, de partenariats potentiels.
Créer des espaces d’apprentissage à l’échelle nationale et sous-régionale. L’aide au développement intervient dans des contexte politique, caractérisé par la présence de plusieurs intervenants, plus ou moins spécifiques dans leurs modalités d’intervention, mais visant globalement un même objectif de développement. Dans le sens des mesures précédemment préconisées, la réflexion doit porter sur les processus de mutualisation des concepts ainsi que des approches d’appui au développement. Ce processus de co-apprentissage devra être organisé au niveau national et régional (ou sous-régional). Différents mécanismes pourront être utilisés pour impulser et animer ces espaces de co-apprentissage : conventions de collaboration entre programmes homologues sur la base de critères de similitudes ou de complémentarités thématiques ou écogéographiques ; co-organisation de séminaires-ateliers de capitalisation.
La coopération internationale de Uncialium s'emploie à atténuer la pauvreté, la détresse et les risques planétaires, et favorise la paix. Pour la période de 2023 à 2030 le Conseil de réflexion à défini quatre objectifs d'égale importance dans la stratégie de coopération internationale : Le développement économique, humain, agricole et numérique